mardi 21 décembre 2010
Colloque La Préhistoire des autres INRAP
Nous avons le plaisir de vous adresser le programme du colloque international « La Préhistoire des autres. Comment l'archéologie et l'anthropologie abordent le passé des sociétés non occidentales », que le musée du quai Branly et l’Inrap organisent les 18 et 19 janvier prochains.
http://www.inrap.fr/archeologie-preventive/Ressources-multimedias/Conferences-et-colloques/p-12271-La-Prehistoire-des-autres.htm
En espérant avoir le plaisir de vous y accueillir, nous vous souhaitons de très bonnes fêtes.
L'équipe du colloque
Entrée libre : l'inscription en ligne sur www.inrap.fr permet un accès prioritaire au Théâtre Claude Lévi-Strauss du musée du quai Branly.
Pour toute information complémentaire, vous pouvez contacter Martine Scoupe
par téléphone au + 33 (0) 1 40 08 80 00
ou par courriel : developpement.culturel@inrap.fr
mercredi 15 décembre 2010
Colloque La Préhistoire des autres
Je poste ici l'éditorial de l'INRAP annonçant ce colloque auquel j'aimerais bien assister...
Éditorial
« La Préhistoire des autres » Archéologie ou anthropologie ?
Cet hameçon néo-calédonien finement taillé dans la coquille d’une huître perlière, pourrait être un objet « archéologique » – à l’instar de nombre d’autres hameçons de pierre, d’ivoire ou d’os, que possède le musée du quai Branly et bien d’autres musées – si sa ligne de fibre végétale encore conservée ne témoignait d’une collecte ethnographique au XIXe siècle, dans un contexte où il était encore en usage.
Mais ces dispositifs extraordinairement ingénieux – identifiés du Moyen-Orient à la Californie – seraient mal documentés dans le temps et l’espace sans l’archéologie…
Cet petit objet pourrait résumer les questions abordées dans le colloque « La Préhistoire des autres – Comment l’archéologie et l’anthropologie abordent le passé des sociétés non occidentales », qu’organisent le musée du quai Branly et l’Inrap les 18 et 19 janvier prochains. Cette manifestation présente quelques apports de l’anthropologie aux recherches des archéologues, auxquels elle fournit des modèles d’usages, de procédés, de représentations symboliques et de sociétés, appréhendés dans toute leur complexité. Parallèlement, elle illustre la profondeur de champ que l’archéologie apporte à l’étude des sociétés humaines à travers le temps.
Cet hameçon néo-calédonien finement taillé dans la coquille d’une huître perlière, pourrait être un objet « archéologique » – à l’instar de nombre d’autres hameçons de pierre, d’ivoire ou d’os, que possède le musée du quai Branly et bien d’autres musées – si sa ligne de fibre végétale encore conservée ne témoignait d’une collecte ethnographique au XIXe siècle, dans un contexte où il était encore en usage.
Mais ces dispositifs extraordinairement ingénieux – identifiés du Moyen-Orient à la Californie – seraient mal documentés dans le temps et l’espace sans l’archéologie…
Cet petit objet pourrait résumer les questions abordées dans le colloque « La Préhistoire des autres – Comment l’archéologie et l’anthropologie abordent le passé des sociétés non occidentales », qu’organisent le musée du quai Branly et l’Inrap les 18 et 19 janvier prochains. Cette manifestation présente quelques apports de l’anthropologie aux recherches des archéologues, auxquels elle fournit des modèles d’usages, de procédés, de représentations symboliques et de sociétés, appréhendés dans toute leur complexité. Parallèlement, elle illustre la profondeur de champ que l’archéologie apporte à l’étude des sociétés humaines à travers le temps.
mardi 7 décembre 2010
Soutenance de thèse de Frédéric Torrente sur l'ethnohistoire de l'atoll de Anaa
Frédéric Torrente, membre de notre association, présentera sa soutenance de thèse en Ethnologie, Anthropologie culturelle, le vendredi 10 décembre 2010 à 08h00, dans l’amphithéâtre A3 de l’UPF. La thèse en doctorat de M. Frédéric Torrente s’intitule : "Ethnohistoire de ANAA, un atoll des Tuamotu".
Résumé de ses travaux
L’ethnohistoire de Anaa, un atoll situé dans l’Ouest de l’archipel des Tuamotu en Polynésie orientale, décrit la réalité du monde insulaire avant l’arrivée des Européens et l’évangélisation. La première partie décrit l’originalité et la singularité de la société ancienne de Anaa, à travers l’analyse d’un corpus de traditions en langue vernaculaire émanant de Paea a Avehe, un insulaire né en 1889, qui fournit des données inédites précieuses (mythes, chants sacrés, généalogies, toponymie, ...) recueillies par le linguiste F. Stimson dans les années 1930.
Ces éclairages sur le passé ancien des Tuamotu relativement méconnu sont répartis en trois chapitres traitant de l’utilisation traditionnelle des ressources de l’atoll, de l’organisation sociale ancienne et de sa traduction spatiale et enfin de certains aspects du domaine religieux ancien. Le continuum entre le passé et le présent est mis en corrélation avec les savoirs actuels de la communauté de Anaa et les vestiges archéologiques nombreux, découverts suite à une analyse précise de la toponymie de l’atoll.
Cette reconstitution du passé de la communauté de Anaa dans son langage propre et son idéologie véhiculée par la tradition est replacée dans la deuxième partie de la thèse dans une perspective plus diachronique, qui montre la place éminente qu’a occupé Anaa au sein de l’histoire de l’archipel, à travers l’étude des cycles de ses héros historiques et de ses relations interinsulaires entre guerres et alliances.
Composition du jury
M. Bruno Saura, Professeur, Laboratoire EAST, Université de la Polynésie française - Directeur de thèse ;
M. Serge Dunis, Professeur, Directeur du Laboratoire EAST, Université de la Polynésie française - Examinateur ;
M. Jean Guiart, Professeur honoraire, Ancien Directeur du Musée de l’Homme, Paris - Rapporteur ;
M. Christian Ghasarian, Professeur, Directeur de l’Institut d’Ethnologie, Université de Neuchâtel, Suisse - Rapporteur.
mardi 2 novembre 2010
Exposition Lapita, ancêtres océaniens
Pour ceux d'entre vous qui auraient la chance de passer par Paris dans les mois qui viennent, faites donc un détour au musée du Quai Branly pour voir l'exposition Lapita, ancêtres océaniens, qui s'y tiendra du 9 novembre au 9 janvier.
Cette exposition, dirigée par Christophe Sand et Stuart Bedford (deux des grands spécialistes de la question), offrira pour la première fois au niveau international, une collection d'objets représentatifs de cet ensemble culturel Lapita, dont les membres furent les premiers à s'aventurer, il y a près de 3200 ans, sur les îles éloignées d'Océanie. Ils y développèrent une culture originale, dont le marqueur principal est la poterie décorée.
Ils stoppèrent leur migration dans la région de Tonga-Samoa, où les groupes évoluèrent progressivement vers les communautés polynésiennes anciennes qui devaient partir par la suite coloniser le triangle polynésien.
Voici le site internet de l'exposition, vous y trouverez tous les renseignements :
http://www.quaibranly.fr/fr/programmation/expositions/prochainement/lapita.html
Bonne visite aux chanceux !
samedi 30 octobre 2010
Extinctions sur les terres du Sahul...
En cause : les premiers hommes arrivés au Sahul il y a 50.000 ans (puis les refroidissements climatiques)... Un exemple marquant, au même titre que les moas de Nouvelle-Zélande ou les tortues à cornes de Nouvelle-Calédonie, d'extinctions d'espèces animales sous l'impact anthropique.
Bonne lecture !
Guillaume
jeudi 28 octobre 2010
Des racines et des ailes... en Polynésie
L'émission des Racines et des Ailes diffusée le vendredi 29 octobre à 20h sur Tempo, sera consacrée au thème "Passion Patrimoine"... Au programme : archéologie aux Marquises avec Pierre Ottino, ainsi qu'un documentaire sur la restauration de la cathédrale de Rikitea. A ne manquer !
Guillaume
vendredi 22 octobre 2010
Mission pluri-disciplinaire en Nouvelle-Guinée
Bien qu'un peu éloignée de la Polynésie française, la Nouvelle-Guinée est un lieu des plus intéressants, sur le trajet des peuplements anciens, en quelque sorte une des portes d'entrée dans le pacifique insulaire.
En Octobre et Novembre, une mission pluri-disciplinaire coordonnée par l'IRD explorera des zones très isolées de l'île. Au programme : spéléologie, biologie (biodiversité), et archéologie avec l'étude de plusieurs grottes ornées et d'habitats de chasseurs-cueilleurs, remontant pour certains à la période de peuplement ancien du Sahul (30.000 B.P pour les sites de la région).
Voici le lien du site de l'expédition où vous trouverez plus d'informations :
http://www.lengguru.org/index.htm
Après la mission Santo, qui sait sur quelle île nous mèneront les futures expéditions scientifiques...
vendredi 15 octobre 2010
Linguistique et archéologie...
Je voulais vous signaler la sortie d'un numéro des Cahiers de Science&Vie (août-septembre 2010), consacré à l'origine des Langues.
Dans ce numéro, on trouvera une série d'articles intéressants dont deux touchent particulièrement à la région Pacifique :
Le premier traite de l'hypothèse de la naissance d'un langage organisé, suscité par la traversée maritime de la région de Wallacea entre Sunda et Sahul, à l'origine du peuplement de l'Australie et de la Nouvelle-Guinée il y a 40.000 ans.
Le second aborde la grande famille austronésienne à laquelle se rattachent notamment les langues polynésiennes. Il constitue un bon article de synthèse pour ceux qui s'intéressent à ces questions.
Rappelons que les recherches les plus récentes sur les thématiques de peuplement s'appuient très fortement sur les apports conjoints de l'archéologie, de la linguistique, de la génétique, et qu'elles apporteront sans doute dans les années qui viennent des résultats toujours plus intéressants...
Bonne lecture
Guillaume
samedi 18 septembre 2010
Archaeology and the Global Economic Crisis. Multiple Impacts, Possible Solutions
http://www.ace-archaeology.eu/fichiers/25Archaeology-and-the-crisis.pdf
dimanche 25 juillet 2010
Visite à Papara, Mai 2010
RDV à l'entrée du lycée à 13h30 tapantes avec Isabelle, ses élèves de 2nde Latin ainsi que Vincent, employé du lycée qui sera notre caméraman pour immortaliser notre sortie…
Après 5mn de marche, nous arrivons à la pension de famille "Papara village". Un grand marae y a été restauré dans les années 1980 par l'ancien Département Archéologie.
C'est un site idéal pour expliquer ce qu'est un marae, sa fonction, etc….Hinanui commence par une présentation générale sur les marae, les différentes catégories, les rituels qui y étaient pratiqués, etc…tandis que Tamara présente plutôt les particularités du patrimoine archéologique de Papara et des recherches effectuées dans la vallée de la Taharuu.
Perchés au-dessus de la plaine, il n'y a qu'à pointer du doigt le marae Mahaiatea et l'ancien marae To'oara'i , la passe et les différents points stratégiques du coin.. Vincent, dont la maman est membre du conseil des sages de la commune, se fait un plaisir de partager ses connaissances légendaires et archéologiques sur Papara.
La visite dure environ 1H30. Pas toujours évident de faire le lien entre une présentation générale de l'archéologie, des sites et la réalité..cette visite est un premier pas vers une initiation à l'archéologie, de la théorie à la pratique, le premier pas a été franchi….
News des suites du projet à la rentrée….
Dernières news de l'association...
1) Notre projet pédagogique avec le lycée de Papara prend forme lentement mais sûrement…Contactés par Isabelle Dano, professeur de lettres classiques, l'idée a suivi son chemin au fil des mois…
Séquence n.1: le mercredi 10 mars 2010, nous avons fait une présentation générale sur l'archéologie aux élèves de latin de 2nde ainsi que les élèves de tahitien. Le powerpoint montrait les différents aspects de l'archéologie du plus général (planète terre) au particulier (l'archéologie locale, notre dada..); notre objectif était de montrer que l'archéologie est une discipline pratiquée partout dans le monde, y compris dans notre beau pays.
Nous avons aussi évoqué ce que l'archéologie n'est pas, c'est-à-dire Indiana Jones, Lara Croft et autres mythes hollywoodiens qui génèrent une fausse idée de l'archéologie…
Nous sommes tous fans du beau et fringuant Indiana Jones, qui n'a pas joué au moins une fois à Tomb Raider ? Ne serait-ce que pour tester les fabuleux décors lithiques d'Angkor Vat et Borobudur…mais il est important de rappeller que nous ne sommes pas des "tomb raiders'" (pilleurs de tombes), ce qui nous a permis de faire la transition vers les réalités matérielles et légales de l'archéo: il s'agit d'une discipline professionnelle et scientifique régie par des lois..en résumé, n'est pas archéologue qui veut, cela se mérite et se respecte ainsi que les lois qui vont avec ! Qu'on se le dise!
Pas d'amateurisme..car c'était bien un des objectifs de cette présentation: montrer ce qu'est l'archéologie dans ses grandes lignes et ses exigences…
Après une visite d'initiation du patrimoine archéologique des 5 archipels, abondamment illustrée de photos en tous genres, nous nous sommes rendus compte que nous avions oublié notre appareil numérique, donc pas de photo pour immortaliser cette première "sortie officielle" de l'association..et pour couronner le tout, nous avons dépassé le temps imparti, tellement nous étions plongés dans la brousse virtuelle…cette visite fût aussi l'occasion pour nous de rencontrer Paloma, professeur de reo tahiti, qui devrait se joindre à nous pour poursuivre l'aventure….
La deuxième visite se devait d'être sur le terrain…ce fût chose faite le mercredi 12 mai…suite au prochain épisode...
jeudi 8 juillet 2010
Lancement du site du SCP
mardi 29 juin 2010
A propos des documentaires télévisés...
J'aimerais réagir sur l'émission VeraVera diffusée hier soir 28 juin sur TNTV. Pour ceux qui ne l'auraient pas vu, John Mairai proposait un débat en français sur la navigation traditionnelle des Polynésiens, avec autour de la table six personnes présentées comme spécialistes de la question, dont Clément Pito, Edgar Tetahiotupa, et Teiki Pambrun ainsi que des membres de l'association Fafaite. Il est certain que seules deux d'entre eux ont véritablement participé au débat lui-même (mais peut-on alors parler de débat ?) apportant quelques informations, les autres se contentant de hocher la tête à intervalles réguliers aux diverses questions de John Mairai qui lisait les remarques SMS des téléspectateurs sans aucun ordre logique dans les thèmes de l'émission. Mais peu importe.
Celle-ci était divisée en deux parties, la première traitant des migrations et du peuplement de la Polynésie, la seconde portant sur la navigation. Mes remarques ne concerneront que la première puisqu'elle abordait des problématiques archéologiques sur lesquelles nous travaillons.
Sur la forme, j'ai trouvé malheureux de voir John Mairai, réputé comme un intellectuel, membre de la SEO, avouer en direct avoir fait des recherches sur internet quelques heures avant le début de l'émission. On aurait pu s'attendre de sa part à une préparation un peu plus poussée histoire d'avoir quelques arguments qui tiennent la route...
Mais c'est surtout le fond du débat que j'ai trouvé assez inquiétant et révélateur d'une grande méconnaissance dont notre association a pour vocation de combler les lacunes...
Par exemple, on vient nous parler d'une analogie directe avec Taiwan où dit-on, on trouve également des marae. Si des rapprochements linguistiques et génétiques ont en effet été mis en évidence, on ne peut pas affirmer ainsi que le berceau des polynésiens se trouvent sur cette île asiatique, ni même qu'elle présente toutes les caractéristiques culturelles de Polynésie orientale !
Un peu plus tard, on nous présente un très beau montage photo montrant d'un côté une représentation du calendrier aztèque, de l'autre un motif marquisien, et de conclure que la ressemblance frappante entre les deux visages dessinés au centre de chaque images implique un contact-échange-voire colonisation entre les Marquises et l'Amérique centrale ! Des exemples de ce genre, il y en a eu tout un lot hier soir, et je ne les citerai pas tous ici.
Ma seule remarque tient à ce que je trouve dommage qu'une chaine comme TNTV diffuse en première partie de soirée, la veille d'un jour férié (donc une grande audience supposée), une émission en langue française, donc accessible à la plupart des habitants du territoire, des informations d'aussi piètre qualité, des élucubrations sur un thème qui, de mon expérience, suscitent de l'intérêt chez bon nombre de polynésiens. Malheureusement, c'est à cause de ce genre d'infos que les gens ne connaissent pas leur histoire. Aborder ainsi des thèses abandonnées depuis des dizaines d'années alors qu'une information scientifique avérée est disponible me semble malhonnête.
Ce petit coup de gueule du 29 juin n'est pas spécialement dirigé contre VeraVera, car d'autres émissions procèdent de la même manière, mais je me suis permis de le pousser sur ce blog de notre association qui a pour but la diffusion des connaissances en archéologie. J'espère qu'un jour, nous parviendrons à offrir aux polynésiens un documentaire qui repose sur des faits scientifiques, et qui tire un trait définitif sur ces hypothèses farfelues qui malheureusement ont encore beaucoup d'échos parmi la population.
samedi 12 juin 2010
Reconstitution historique au marae arahurahu
Autres dates pour la reconstitution historique: 3, 4 juillet 2010 à partir de 15h30 Voir http://www.tahiti-agenda.com/results.php?id=5374 VAKA ARIOI O TAHITI E et Tavana Hare SALMON – tahua marae Un VAKA ARIOI accoste sur les rives de Paea. La confrérie des Arioi de Raiatea débarque à Tahiti pour honorer le Arii Nui (chef) de Tahiti et lui offrir les plumes rouges qui orneront le Maro Ura (ceint rouge) signe distinctif réservé à la plus haute autorité. L’entrée solennelle du Arii Nui et de sa cour sonne le début de la cérémonie. Puis, le Tahua Nui (grand prêtre) invoque la présence des dieux. La préparation des racines de ‘Ava soutenue par un Himene Tarava (chant polyphonique) prennent part au rite. Les offrandes de nourriture que les Arioi ont emportées dans leur pirogue sont déposées avant que les précieuses plumes rouges de Vini Ura (perroquet rouge) destinées à la ceinture Maro Ura soient présentées au dignitaire avec les marques du plus haut respect. Puis les festivités et la démonstration de l’art scénique des Arioi de Raiatea et de leurs hôtes prennent place pour célébrer le temps de la rencontre. 150 artistes présentent cette reconstitution (cour royale, groupe de chant, groupe de danse et musiciens) Horaires du spectacle - 15h30 : Accueil sur le site par O Tahiti E - 16h00 – 17h30 : Reconstitution « Vaka Arioi » Informations pratiques - Parking disponible à la mairie de Paea et à l’école Vaiatu (près de la mairie) - Navette gratuite organisée par Heiva Nui - Point de départ : mairie de Paea vers le Marae Arahurahu (aller /retour) toutes les 20 minutes à partir de 14h00 Tarif adulte (à partir de 12 ans) : 3 000 F Tarif enfant (de 2 ans à 11 ans) : 1 500 F Un tarif « enfant » est proposé, concernant les 2 ans à 11 ans. Un ticket « bébé », sans numérotation de place, sera édité pour chaque enfant de moins de 2 ans. Billeterie - Radio 1 (8h30 – 16h00) - Carrefour Arue Lundi à Samedi (8h30 - 20h00) Dimanche (8h30 – 12h00) - Carrefour Punaauia Information - Heiva Nui : 50.31.00 - Radio 1 : 43.41.00 |
dimanche 6 juin 2010
Pioneers of the Pacific, National geographic
http://ngm.nationalgeographic.com/2008/03/people-pacific/smith-text
vendredi 4 juin 2010
Une matinée à Papeno'o
Quelques photos d'une matinée dans la grande vallée de Papeno'o où nous avons mené Isabelle son mari et les enfants, pour une séance photos. Isabelle est professeur de latin au lycée de Papara et nous a contacté pour élaborer un projet pédagogique sur le patrimoine archéologiquer dont nous parlerons incessamment sous peu.
Un petit stop à TPP 06 puis nous avons filé à Fare Hape. La pluie nous y a accueillis, baptême habituel des nouveaux venus dans la Papeno'o.
J'avais entendu dire que le cyclone de cette année a fait quelques dégâts sur le site : arbres arrachés, brousse tombée sur les marae... L'association Haururu a rapidement fait le nécessaire, à peine voit-on ces quelques troncs souches d'arbres arrachés et sciées, aucune structure archéologique n'en a souffert.
mardi 18 mai 2010
5 juin : Journée de l'archéologie en France
le 5 juin est la journée de l'archéologie, la chaîne ARTE et l'INRAP se mobilisent pour en faire un bel événement : 7 heures d'antenne, visites de sites, musées.... De nombreuses villes s'y mettent, les DOM également, à quand la PF ?
Vous trouverez le programme sur le site de l'INRAP. Chanceux ceux qui ont le câble !
http://www.inrap.fr/archeologie-preventive/Actualites/Communiques-de-presse/Les-derniers-communiques/Communiques-nationaux/p-10313-Journee-de-l-archeologie-sur-Arte-samedi-5-juin.htm
samedi 1 mai 2010
Call for Papers for Maritime Archaeology and History Conference in Hawaii February 2011
This is a call for papers for the 22nd Annual Symposium on Maritime Archaeology and History of Hawai`i and the Pacific, February 18-21, 2011 in Hilo, on the Big island of Hawai`i. The theme for this year’s conference is “Reading Coastal Footprints: Ecology and Maritime Archaeology in the Pacific.” Paper topics are not limited to this theme but special consideration will be given to abstracts that incorporate this message.
Tentative session titles include: - Historical and archaeological research on human influences on marine life - Applying ecological models to archaeology - Recent maritime archaeology fieldwork - General sessions on maritime archaeology and maritime historyABSTRACTS should be no more than 300 words and include a title, name(s) of presenters and affiliation. All presenters are expected to register for the conference. Information concerning registration will be sent to presenters upon acceptance of their abstracts.
STUDENTS: There will be two student scholarships awarded to cover the registration fee for this conference. Please see the website for more information. Deadline for Abstracts is November 1, 2010 Please email you abstract and contact information to: Suzanne Finney at finney[at]mahhi.org For more information about the conference, go to: http://www.mahhi.org/ All presenters will be notified by November 15, 2010
dimanche 25 avril 2010
Qui sommes nous ?
-Faire connaître l’archéologie et le patrimoine archéologique du fenua auprès du grand public
-Contribuer à la recherche archéologique locale
Pourquoi ?
L’archéologie est une discipline passionnante mais peu connue. Elle consiste en l’étude des sociétés anciennes à travers les traces matérielles laissées par les ancêtres (sites d’habitat, marae, sites horticoles, objets, etc… )
L’archéologie est pratiquée dans le monde entier. Tout le monde a entendu parler des fascinantes pyramides d’Egypte, du Sphinx, de Pompéi, du temple d’Angkor et autres merveilles de l’humanité. Cependant, on parle moins du patrimoine archéologique de notre fenua qui est d’une grande richesse mais reste encore méconnu.
Notre objectif est de contribuer à une meilleure connaissance et promotion de notre patrimoine archéologique.
Pour qui ?-Les écoles, collèges et lycées
-le grand public
Comment ?
-Interventions dans les établissements scolaires (exposés…)
-visites guidées de sites archéologiques accessibles au public
-création de documents thématiques sur le patrimoine archéologique
Qui sommes-nous ?
-des archéologues professionnels qui veulent partager leur passion
-des amateurs passionnés d’archéologie et d’histoire du fenua
Comment nous contacter ?
Par email : ihipapa@gmail.com
Par courrier : Association Te ‘ihipapa nō ta’ato’a
BP. 381711 Tamanu
98718 Punauuia, Tahiti
Notre association a été créée en 2007 avec pour motivation principale de partager ces lumières avec le plus grand nombre..